Ça CEst Passé Simplement 5
Mercredi 22 mai 1985
Vers 19,30 heures, jappelais lhôtel et informais Mireille que j'arrivais dans les 10 minutes. Elle mindiqua lemplacement de sa voiture. En arrivant, je repérais la voiture, mais personne aux alentours et je commençais à minquiéter et me dire que notre idée était peut être idiote, et quelle avait réalisé et je la vis sortir de lhôtel, et se diriger vers le fond du parking ou sa voiture était garée.
Je descendais de voiture et Mireille me dit : « Quand tu mas dit que tu arrivais, beaucoup de clients sont arrivés, jai préféré tattendre dans lentrée »
Moi : « Tu as bien fait, mon idée était idiote »
Mireille sappuya nonchalamment à sa voiture. Elle avait un blouson noir genre, cuir, fermé par une fermeture éclair, serré à la taille et deux grandes poches au niveau des seins. Sa jupe de même qualité, également serrée à la taille et fermée devant, également, par une grosse fermeture éclair et elle me dit :
« Je nai pas trouvé chez moi de corsage pour te plaire, jai donc mis ce blouson pratique, regardes » et ouvrant la fermeture éclair du blouson, apparurent ses seins dans un soutien-gorge quart de bonnet, et encore petit quart. Ce soutien gorge, dont elle navait vraiment pas besoin, transformait ses deux belles choses en véritable obus, dont les pointent jaillissaient arrogantes, tentantes, provoquantes. Voyant cela, je la prenais dans mes bras en glissant sous le blouson et la caressais, du dos, vers les seins que je prenais en bouche, suçais et aspirais, jusquà ce quelle me repousse en me disant « Ne sois pas si goulu, un peu de patience. Je navais pas de jupe droite serrée, jai donc pris celle-ci, qui devrait te plaire » Elle se baissa et remonta la fermeture et la jupe souvrit. Elle était entièrement nue, mais, et cétait une surprise, ce qui à priori nétait pas dans son style, elle avait un porte jarretelle qui tenait des bas noirs transparents, encadrant sa moule.
« Tu sais que tu es excitante au possible, te voir ainsi me donne plein didées »
« Tais-toi et mets tes idées en application »
Boom, mon pote, au boulot. Je savais ce quelle voulait et ce quelle aimait, donc, pendant que je me gavais de ses seins, ma main droite était descendue vers son intimité à laccès aisé, les jambes légèrement écartées et qui ne demandaient quà souvrir encore, si nécessaire. Je posais ma main sur sa chatte et ainsi la recouvrais entièrement, elle était chaude et humide. Elle aimait que je lui caresse la chatte en faisant glisser mes doigts de chaque coté de ses grosses lèvres et un doigt à lintérieur, remontant et descendant avec une augmentation de la pression à chaque passage, pour enfin avoir le majeur bien enfoncé, avant dêtre rejoint par lindex et commencer des va et vient, de manière douce. Normalement la sono devait se mettre en route dans ces moments là. Effectivement : « Oui, doucement,
jaime quand tu commences comme ça,
oui,
»
De façon à la rendre plus accessible et plus disponible, je lui dis « Ecartes le jambes, je veux aller jusquà ton petit trou,
je sais que tu aimes,
»
Sappuyant sur la voiture, elle écartas les cuisses et avança son bassin, javais ainsi accès à toute la longueur de ce sillon qui venait de son cul jusquà son minou et jen profitais pour le parcourir et le pénétrer. Abandonnant la partie haute de son anatomie, ses seins, je maccroupissais et mattaquais avec doigts et langue à sa moule. Jadorais son odeur de femme chaude. Quand mes doigts ne la travaillaient pas ma langue la léchait et buvait son jus. Le rythme de respiration accéléra ses mains sur ma tête, me maintenaient les lèvres et la bouche sur et dans sa chatte et la sono, vue lendroit où nous étions némettait que des grognements de satisfactions et enfin elle se décida :
« Prends moi,
jai envie de te sentir me prendre,
viens,
» Il était temps, javais une gaule qui ne demandait quà être utilisée, je dis donc à Mireille de se retourner, ce quelle fit sans lombre dune hésitation.
« Non,
je ne peux pas faire ça,
jai limpression de faire la pute,
excuses moi, je ne peux pas... »
Surpris, je ne comprenais pas ce qui se passait et Mireille repris : « Tu te rends compte, je suis en tain de me faire sauter dans un coin sombre entre deux voitures, comme la dernière des dernières. Excuses moi,
je ne peux pas,
viens on rentre,
dans la chambre tout ce que tu voudras, mais pas ici, sil te plait »
Je devais avoir fière allure avec pantalon et caleçon à mi cuisse. Pendant tout léchange elle sétait appuyée contre et sur moi.
« Pas de problèmes, tu voulais faire lessai, cest clair. Mais tes dure avec moi, me couper en plein élan »
Sans se déplacer, elle descendit sa main pour voir le résultat de cet arrêt brusque et prenant ma tige en main, elle dit : « Je men occupe, je veux me faire pardonner »
« Que veux-tu faire ? »
Mettant son doigt sur ma bouche « Chut, laisse moi faire » et elle saccroupit et après quelques caresses, elle me prit en bouche et sattaqua à mon engin avec vélocité et souplesse. Il ne fallut que peu de temps pour retrouver ma vigueur. Elle sactivait, le lieu, cette suceuse experte et le résultat ne se fit pas attendre, je la prévenais, mais elle continua à me pomper et je vidais dans sa bouche avec un réel soupir de soulagement. Se relevant : « Jespère être à demi pardonnée. Toute à lheure, je serais à toi, entièrement à toi. Je suis désolée, mais je nai pas pu, tu avais raison »
Moi : « Allons diner »
Tout le monde se réajusta et nous partîmes au restaurant. Mireille avait réservée une table dans un coin, nous étions donc tranquille.
« Jai vue que tu dinais toujours avec un livre, tu dois faire une consommation importante de livres. Comment fais-tu pour les choisir et ne pas tomber souvent sur des navets »
« Je suis régulièrement les émissions de Pivot et en général ses choix me conviennent »
Elle : « Moi aussi, je lécoute régulièrement, alors que penses-tu du dernier livre de
»
Cétait parti, tout le diner la conversation roula sur la lecture, les auteurs,
et ainsi arriva le temps de se diriger vers sa chambre.
Mais durant de cette conversation littéraire, je sentis quun escarpin de Mireille était venu à la rencontre dun de mes mocassins. Intérieurement jeu un sentiment de plaisir, surtout que pensant que cétait un accident, je métais éloigné, mais lescarpin avait suivi.
Egalement alors que pour le dessert javais pris un fruit, Mireille elle, avait pris un Miko. A peine assise, alors quelle me regardait droit dans les yeux, elle entrouvrit légèrement les lèvres et le bout de sa langue, sortie, caressa doucement ses lèvres. Ce geste volontaire, sans aucun doute, me parut extrêmement sensuel, sans compter que sen suivi la dégustation du bâton glacé. Elle ne le mangeait pas, elle le suçait du bout des lèvres comme si elle faisait une pipe. Cela entraina, chez moi une réaction épidermique compréhensible. Cétait visiblement de la provocation et je lui dit : « Si tu continues, je te prends sur place »
Elle avec un petit sourire : « OOOHHH,
au moins laisse moi finir ce bâton glacé, jaime beaucoup ces glaces »
La pipe finie, non la glace terminée, elle me dit :
« Jai envie de toi, dis moi que tas envie de moi, que tu veux me prendre, me faire lamour, ce que tu veux me faire, jaime savoir, je te lai dit, cest le commencement du plaisir. On peut dire que tu es plus efficace que bavard.
Moi : « Pourquoi dans un quart dheure ? »
Elle : « Je veux me préparer »
Moi : « Mais tu es très bien comme ça »
Elle : « Je veux prendre une douche »
Moi : « Tu nas pas besoin de prendre une douche, jaime ton odeur, tes odeurs, tu veux dautres détails ? »
Elle : « Oui »
Je pensais que mes explications étaient suffisantes et claires, et que ce « oui » sentait un peu la provocation et je décidais dy répondre.
Moi : « Bien, quand jai le nez dans ta jolie toison, je ne veux pas sentir le savon, mais je veux sentir ton odeur, lodeur de ta chatte. Je ne veux pas sucer du savon, mais ta chatte. Contente, convaincue ? »
Elle : « Oui, jaime tentendre, daccord.»
Les cinq minutes passées, je me dirigeais vers la chambre et je rentrais dans la chambre. Faible lumière, choc, Mireille mattendait assise sur une chaise en peignoir de bains.
« OOHH la tête » dit-elle avec un grand sourire et elle se leva et comme une stripteaseuse elle fit tomber son peignoir de bains.
« Tu préfères cette tenue, je ne tenais pas à me trouver dans cette tenue si un personnel était rentré » et elle était venu contre moi, mettant ses bras autour de mon cou et le reste collé à moi. Une partie de frottement sen suivit, toujours aussi agréable et efficace. Cest là quelle réagit : « Tu es encore habillé »
Il ne fallut pas longtemps pour me déshabiller et reprendre notre parti de frottement, et là elle eut le mot pour rire : « Dis moi que tu as envie de moi, dis le »
« Tu ne sens pas que jai envie de toi »
« Si mais je veux lentendre, dis moi ce quon va faire, ce que tu veux me faire »
« Couches toi, je vais te bouffer la chatte, écartes bien les jambes, ouvres ta chatte et après je vais te faire lamour, non te baiser,
»
Elle se coucha, le compas de ses jambes largement ouvert, et les doigts de part et dautre de ses grosses lèvres et louvrant.
« Tu devrais te caresser, jimagine te voir le faire »
« OOHH, non, viens toi, je veux tes doigts, ta langue,
, si je me caresse et en plus devant toi, je vais me faire jouir,
, je veux que ce soit toi, qui me prennes, qui me fasses jouir,
, viens,
»
« Juste, un peu, jaimerais voir quand tu te caresses »
Elle ferma les yeux, sa main gauche remonta à sa bouche et elle suça ses doigts, qui allèrent sur ses seins dont elle caressa laréole puis le mamelon. Quant à lautre main, elle suivit le sillon de ses grosses lèvres montant descendant, pénétrant de plus en plus à chaque passage. Le souffle saccélérait, voyant ce spectacle, je décidais dintervenir, car je sentais quelle allait partir et que je resterais sur le quai. Je mapprochais, la vue de ce sexe humide, lodeur de cette femme chaude, et sachant quelle était prête à tout pour jouir, tout cela me grisait et me faisait bander sérieusement. Je mattaquais avec gourmandise à cette moule ouverte, ma langue suivant le sillon ouvert entre ses grosses lèvres, sillon humide et même coulant, remplaçant ses doigts. Ses mains étant remontées sur ses seins quelle malaxait avec énergie. Je minquiétais un peu, mais la sono ne tarda pas à se mettre en route, ainsi je savais où jen étais de la montée en puissance du plaisir chez ma partenaire.
« OOOHHH, ouiiii,
cest bon, continues,
, je te veux,
, jai envie de toi,
, prends moi,
»
Moi : « Tournes toi »
Elle : « OOOHHH,
, Oui,
, Oui, montes moi,
, fais moi jouir,
, je suis à toi,
Oui,
»
Je commençais par caresser ses belles fesses, bien rondes et fermes. Puis partant des genoux, à lintérieur des cuisses, je les remontais allant vers son intimité.
« Arrêtes, prends ma chatte,
rentres,
tu sais que jen ai envie,
ne me fais pas attendre,
»
Jarrivais enfin sur sa moule que deux doigts pénétrèrent sans difficultés, le fourreau étant lubrifié à souhait, ce fut un « OOOHHH » de satisfaction et je commençais mes va et vient lentement, très lentement et jaccélérais au fur et à mesure que la sono lindiquait. Et je marrêtais de moccuper de sa chatte pour remonter plus haut vers son petit trou de façon à lhumidifier de son propre jus. Un pouce dans sa rosette deux doigts dans sa chatte,
« OOOHHH,
, Oui,
, cest bon,
, mais prends moi,
, jai envie de te sentir,
, prends moi,
tu es un salaud de me faire attendre,
, prends moi ou je vais hurler,
»
Je me redressais et me présentais à lentrée de son intimité, elle me prit et me guida vers et dans son fourreau et ce avec : « Enfin, oui,
tes content de toi,
tu aimes que je demande,
»
Et je commençais à la ramoner et elle semblait apprécier et comme la dernière fois elle avait aimé je lui appliquais deux claques sur ses belles fesses, rondes et fermes. Une contraction sen suivit et « Ouiiiii,
salaud tu sais que jaime,
tu profites,
OuIIIII », en fait même si elle aimait que je lui claque un peu les fesses, cela ne me convenait pas trop. On me lavait dit que les femmes aimaient cela quand on les baisait, mais ce nétait pas dans ma philosophie. Par contre son joli cul que javais sous les yeux mintéressait beaucoup plus et je lui dis :
« Tas toujours un beau cul, ouvres le que je voie ta rosette, ouvres toi que je vais prendre ton cul »
« Il te plait toujours autant, ouiIII,
prends le,
, j espérais que tu le voudrais.
, je me suis préparé toute la semaine pour ça, viens,
prends le
»
Je me retirais de sa chatte alors quelle positionnait ses mains sur ses fesses et les écartait, ce qui mouvrait laccès à son petit trou.
« Fais doucement, je te veux,
jen ai envie, viens,
il est à toi,
»
Avec précaution je menfonçais dans son petit trou, heureusement que je lavais lubrifié quelques instants plus tôt, il fallu un peu forcer lentrée. Lentement, elle réussit à mabsorber entièrement et je commençais mes va et vient. Elle lâcha alors ses fesses et cramponné à ses hanches et attentif à ce que je faisais je navais pas remarqué que sa main droite sétait glissée entre ses cuisses et soccupait de sa moule. Pendant que je lenculais elle se pénétrait avec ardeur. Il fallut un peu de temps, mais la sono reprit, faible au début et samplifiant au fur et à mesure que jaccélérais le mouvement. « Oui,
, doucement que je mhabitue,
, OOOOHHHH,
, ouiiii,
, jaime que tu me prennes par là,
, OUIIIIII,
., retiens toi,
, OOOHHHH,
, OOOHHH,
OUIIII, »
Ny tenant plus, je lâchais tout et je la remplissais de mon jus, juste quelques instants avant quelle même ne parte avec un joli orgasme, certes pas le plus beau quelle avait eu, mais quand même très correct. Elle sécroula sur le lit, jen fis de même. Après quelques minutes
Elle : « Cétait bon, mais un peu court, tu ne penses pas »
Moi : « Désolé, je dois vieillir et tu mas épuisé à la voiture. Je pense que lon devrait se reposer »
Elle : « On prend la douche ? »
Moi : « Oui, bonne idée ça me remettra en forme »
Elle : « Ne rêve pas, la douche nest utilisable que par une personne »
Moi : « Jattendrais »
Mireille sortie de la douche un peignoir de bain cachant sa nudité, alors que je me dirigeais vers la salle de bains, elle se coucha dans le plus simple appareil.
Ma douche terminée je retrouvais Mireille au lit pour faire un gros câlin. Peu de temps après Mireille dormait et jen fis autant.
Vers 3 heures du matin, après un sommeil profond, je me réveillais me demandant qui était contre moi. Je me rappelais rapidement le scénario de la veille. De plus javais une trique pas possible. Avec ce corps chaud de femme sur le coté, à coté de moi, il me venait des idées très précises que jallais essayer de mettre en uvre. Je glissais une main exploratrice vers ses fesses, les caressais et je mintroduisais ente ses cuisses et remontais vers sa chaude intimité.
Des petits grognements, ou plutôt des soupirs ponctuaient mes avancées, et se tournant elle se mit sur le ventre, en écartant légèrement les jambes. Elles devaient rêver, et némit quun faible grognement, mais cela me permit une approche plus aisée de son intimité, enfin sortant de son réveil Mireille murmura :
Elle : « Quest ce que tu fais »
Avant de répondre javais progressé et ma main était au chaud sur sa moule.
Moi : « Jai envie de te caresser »
Elle à moitié ensommeillée : « Tu crois que cest le moment, jai sommeil »
Pendant cet échange, je glissais un doigt dans sa chatte, il fallait que le physique réagisse avant lintellect. Mon doigt ayant eu laccès à sa grotte damour, je moccupais activement de son minou et de son petit trou, que mes doigts pénétraient gentiment. La réaction me parvint relativement rapidement.
Elle : « Arrêtes,
OOOhhh,
arrêtes sil te plait,
»
Moi : « Jai envie de toi, jai envie de te prendre,
de te baiser,
»
Elle : « Maintenant que tu mas réveillé, si tu veux continuer, je veux tes doigts et ta langue et lèches moi, jaime sentir ta langue dans ma chatte, ça mexcite,
»
Moi : « Javais deviné que tu aimerais »
Elle me laissa soulever son joli cul et en fait, elle se mit à genoux, le nez dans loreiller et en écartant largement ses cuisses. Je commençais, avec ma langue, à explorer sa chatte chaude et odorante. Elle ne mit pas longtemps à enclencher la sono et descendant ses mains vers son intimité elle louvrit : « Viens, je mouvre pour toi, tu aimes que je mouvre,
oui,
lèches moi,
jaime, prends moi avec ta langue et tes doigts,
ouiiii,
continues,
»
Je mactivais, quand ny tenant plus je me redressais et me présentais à lentré de son minou, qui était prêt à me recevoir et dans lequel je menfonçais, dun coup de rein, sans problème tellement il était ouvert et généreusement lubrifié. Cette pénétration vive nentraina quun : « OH, oui ». Elle était tellement chaude et tellement gourmande de baise que la musique se mit rapidement en route : « Ouiiii,
, prends moi, continues,
, jen ai tellement envie,
, jaime te sentir,
, ouiii baises moi fort,
, ne tarrêtes pas,
, plus fort,
, je sens que je vais jouiiiirrr,
, OUIIIII, continues,
, OOOOOHHHH,
, cest,
», et elle eut un joli orgasme, mais je me méfiais de ses réactions et jétais cramponné à ses hanches, bien enfoncé dans sa chatte dégoulinante de son jus. Quant à moi je navais pas mon compte, je sentais le plaisir qui montait et je ne pouvais marrêter, je continuais à la ramoner avec vigueur telle une machine.
« OOOhhh, arrêtes,
sil te plait arrêtes,
OOOhhh, non,
je ne peux plus,
, tu mépuises,
espèce de brute, ... » Puis il y eut un long silence, où on nentendait que la respiration de Mireille en rythme avec mes pénétrations. Un gentleman aurait sans doute arrêté, mais, pour moi, je ne pouvais marrêter il fallait que jarrive à me débarrasser de cette pression que javais dans les reins, je continuais donc quand tout à coup : « Ouiiii , continues,
, ne tarrêtes pas,
., ouiii, baises moi fort,
, je veux te sentir me remplir,
, OOOOHHHH, OUIIIII, ne tarrêtes,
, je vais jouiiiir,
, encore,
cest bon,
, OUIIIIIIII,
. » Là, ny tenant plus et je me vidais dans sa chatte accueillante, pendant quelle avait un spasme conséquent. Je mécroulais à coté delle.
Se collant contre moi, après un léger baiser sur les lèvres elle me dit : « Tu es content de toi ? Maintenant on dort », ce que lon fit.
Mon réveil intérieur me fit émerge à 6,00 h. Mireille dormait tranquillement et discrètement je me glissais hors du lit. Au lieu de prendre une douche, ce qui aurait réveillé ma partenaire, je fis une toilette de chat. Pendant ces ablutions, intellectuellement je me disais que jaurais bien remis le couvert, mais physiquement je craignais de ne pas pouvoir être à la hauteur de la gourmandise de cette jeune et jolie femme. Une retraite en bon ordre me parut la seule solution prudente et digne. Dautant quil me fallait reprendre plus de 50 km pour me retrouver sur litinéraire prévu et planifié.
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